Chaire de recherche du Canada en ÉPI

Université Laval

Équipe

Benjamin Tremblay-Auger est étudiant à la maîtrise en économique à l'université Laval (M.A.). Il est aussi détenteur d'un B.A. avec distinction en économie et mathématiques du même établissement. Il a travaillé à la Chaire de recherche du Canada en Économie Politique Internationale en 2017 et 2018. Il a participé à la mise en place d'une nouvelle banque de données de près de 3000 accords internationaux en environnement et collabore actuellement avec Jean-Frédéric Morin et Claire Peacock sur plusieurs projets de recherche utilisant ces données.

Benjamin a reçu des bourses du CRSH, de la Banque Nationale et du ministère de la Défense nationale pour sa maîtrise et il a obtenu une bourse de la fondation C.D.Howe pour financer un échange d’un an (2016-2017) à l’université de Toronto. Il a aussi été placé au tableau d'honneur du doyen pour sa performance au baccalauréat.

Intérêts de recherche

Conflits armés; développement international; design rationnel des institutions internationales.

Modèles formels; méthodes quantitatives.

Cours enseignés

 

 

Projet de recherche en cours

« Financer la discorde », Études internationales, réviser et soumettre à nouveau.

« Treaty Design under Power Asymmetry: Counterbalancing Pooling with Flexibility », avec Jean-Frédéric Morin et Claire Peacock, soumis à The Review of International Organizations.

Articles scientifiques

  • Morin, JF, B. Tremblay-Auger, and C Peacock (2022) "Design Trade-Offs Under Power Asymmetry: COPs and Flexibility Clauses ", Global Environmental Politics, 22 (1) 19-43. 


    Negotiating parties to an environmental agreement can manage uncertainty by including flexibility clauses, such as escape and withdrawal clauses. This article investigates a type of uncertainty so far overlooked by the literature: the uncertainty generated by the creation of a Conference of the Parties (COPs) in a context of sharp power asymmetry. When negotiating an agreement, it is difficult for powerful states to make a credible commitment to weaker states, whereby they will not abuse their power to influence future COP decision-making. Flexibility clauses provide a solution to this credibility issue. They act as an insurance mechanism in case a powerful state hijack the COP. Thus, we expect that the creation of a collective body interacts with the degree of power asymmetry to make flexibility clauses more likely in environmental agreements. To test this argument, we draw on an original dataset of several specific clauses in 2,090 environmental agreements, signed between 1945 and 2018. The results support our hypothesis and suggest that flexibility clauses are an important design feature of adaptive environmental agreements.


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