Équipe
Philippe Evoy est doctorant en science politique et en analyse de politiques environnementales à l'Université Laval et à la Vrije Universiteit Amsterdam, sous la direction conjointe des Pr Jean-Frédéric Morin et Philipp Pattberg. Il est titulaire d'une bourse de doctorat du Fonds de recherche du Québec - Société et culture (FRQSC) ainsi que d'une bourse Marcel-et-Annie-Adams en études internationales depuis 2022. Ses recherches portent principalement sur la gouvernance environnementale mondiale, avec un intérêt particulier pour les zones au-delà de la souveraineté des États. Son projet de thèse consiste en une étude comparative des régimes environnementaux encadrant les activités humaines en Antarctique, dans les fonds marins et dans l'espace.
Titulaire d'une maîtrise en relations internationales de la London School of Economics and Political Science, Philippe a été conseiller en relations internationales à l'Assemblée nationale du Québec de 2019 à 2021. Il est présentement auxiliaire de recherche à la Chaire. Avant de s'y joindre, il a également été auxiliaire de recherche à la Chaire de recherche INQ sur le développement durable du Nord.
Intérêts de recherche
relations internationales, gouvernance mondiale de l'environnement, zones au-delà des juridictions nationales, diplomatie, enjeux de souveraineté, théories des relations internationales, analyse qualitative
Articles scientifiques
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Pic, P. P. Evoy and JF Morin (2023) "Outer Space as a Global Commons: An Empirical Study of Space Arrangements" International Journal of the Commons, 17(1), pp. 288–301.
The designation of outer space as a global commons is a contentious issue. Some argue that officially recognizing it as such could discourage private investment, while others claim that it would not sufficiently promote sustainability. To address these debates, this article examines how space actors use a global commons framework in their institutional arrangements. Based on a collection of 1042 space arrangements, we characterize a subset of arrangements that explicitly reference concepts related to the notion of global commons. We observe that this framework is seldom used in bilateral arrangements and is mostly absent from recent agreements made by influential players. Furthermore, we find that employing principles related to global commons in arrangements does not result in significantly different operational rules. As a result, we conclude that a clearly defined global commons perspective has yet to be articulated and institutionalized.
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